Blogia
Monarquía Europea

Arguments pour la Monarchie parlementaire

Arguments pour la Couronne - Exemple: Royaume du Canada

La Constitution du Canada déclare que le Gouvernement du Canada et le Commandant en Chef des Forces Armées sont investis par la Reine. La Couronne est un des trois éléments du Parlement du Canada (la Reine, le Sénat et la Chambre des communes). Elle est la Souveraine de l’Ordre du Canada, Souveraine de l'Ordre du Mérite Militaire, Colonel en Chef de nombreux régiments des Forces Armées canadiennes, Commissaire honoraire de la Gendarmerie royale du Canada, et elle soutient beaucoup d'institutions et d’organisations de divers aspects de la vie canadienne.

Un statut canadien intitulé L'Acte d'Interprétation définit clairement la Couronne : « La Couronne signifie le Souverain du Royaume-Uni, du Canada et de ses autres Royaumes et Territoires, et Chef du Commonwealth ».

La Reine a accédé au Trône en 1952. Elle a assumé le titre supplémentaire de « Reine du Canada » par un Acte de Son Parlement canadien en 1953. Elle a été couronnée en 1953 et est devenue la première Souveraine à ouvrir le Parlement du Canada en 1965. Sa Majesté a proclamé le Drapeau national du Canada en 1965. Elle a présidé le centenaire de la Confédération en 1967. Elle a ouvert les Jeux Olympiques de Montréal en 1976. Par la suite, Sa Majesté a célébré Son Jubilé d’Argent en 1977. Elle a proclamé la Constitution révisée du Canada en 1982 à Ottawa. Elle a créé l’ Autorité héraldique canadienne en 1987. Elle a présidé les Célébrations du Jour du Canada, sur la Colline parlementaire, en 1990 et en 1992.


Le Canada a toujours été une Monarchie

Depuis les premiers colons, la seule forme de gouvernement canadien a été une monarchie. Les Aborigènes avaient leur propre idée de la monarchie suivant des traditions tribales. Notre monarchie a été Française et Britannique et est devenue, par la suite, distinctement Canadienne. En 1867, les Canadiens ont réaffirmé de leur propre volonté, leur fidélité à la Monarchie. Ils ont continué à le faire lors de chaque étape subséquente de leur développement politique.


Monarchie ou république ?

La Couronne canadienne est plus démocratique qu'un Président du Canada pourrait l’être parce qu'elle représente tous les Canadiens. Un président élu devrait son poste à une fraction politique, et cela le séparerait de beaucoup de ses compatriotes ce qui ferait sa tentative de représenter « le peuple » moins convaincant. Les éléctions présidentielles fréquentes, interrompraient la continuité essentielle d’un chef d’état efficace de notre pays. La Reine et ses héritiers ont été prêts depuis leur naissance pour ce rôle de Souverain du Canada. Donc, ils sont les seules Canadiens capables d’assumer ce poste important.


Monarchie et le fédéralisme

Un Président nommé, ou le Gouverneur Général peut seulement être un représentant du gouvernement central. La Reine, cependant, symbolise le gouvernement central ainsi que les administrations provinciales. Elle est une figure non partisane sans palier de gouvernement et sans parti politique, ce qui la rend donc indispensable au système fédéral. A Regina en 1978 les dix Premiers Ministres ont affirmé: « Les Provinces s’entendent que le système parlementaire exige une ultime autorité pour assurer sa nature responsable et pour le protéger contre les abus du pouvoir. Ce pouvoir ultime ne doit pas être un instrument du gouvernement fédéral.» La monarchie assure du respect pour les champs de compétence provinciaux ainsi que fédéraux ce qui nous donne un fédéralisme flexible.

Un Gouvernement monarchique

Seule une monarchie constitutionnelle est capable d'intégrer le palier exécutif, législatif et juridique du gouvernement. L'autorité de la Couronne donne une légitimité universelle aux décisions particulières prises par les différents paliers du gouvernement. La Monarchie constitutionnelle permet à la population de célébrer certaines occasions collectivement, comme les anniversaires nationaux et la remise d’honneurs, parce qu’elle les purge de la corruption partisane. Dans un monde marqué d’un changement social rapide, où un prix doit être payé pour l’incertitude, même si ce prix est seulement économique, la Monarchie constitutionnelle nous donne une certaine continuité, surtout lors des transitions politiques.

La Monarchie nous donne aussi un système politique différent de celui des Etats-Unis, leu pendant une période de commerce continental, où leur influence sociale et culturelle est d’autant plus présente.


Une Monarchie pour le vingtième et le vingt et unième siècle

La plupart des démocraties stables et prospères aujourd'hui, sont des monarchies constitutionnelles, tandis que la plupart des pays instables, sont des républiques, dont beaucoup ont renversé leurs monarchies. Au cours de l’histoire du monde, les républiques naissent dans une atmosphère de violence, tandis que les rois accèdent à leur position dans une atmosphère d’amour. Il y a un bon sens de communication entre la monarchie et le peuple une atmosphère que les politiciens ne peuvent pas développer. Les Canadiens participent entièrement aux événements royaux ; ils sont impliqués dans les visites de la Reine au Canada, et suivent avec intérêt l’interprétation médiatique de notre Couronne. La reine et sa famille ont visité plus de régions du Canada que la plupart des Canadiens. Beaucoup d’immigrants qui viennent au Canada sont venus de pays avec des gouvernements monarchiques. Ils peuvent facilement s’identifier avec notre Monarchie, qui est une institution vivante du vingtième siècle, qui change et s’adapte constamment à notre monde moderne. La tradition et la cérémonie qui l’ entourent provoquent de l’intérêt chez beaucoup de Canadiens, surtout des jeunes, au fonctionnement du gouvernement.


Cette Terre est leur terre

Les liens entre la Famille Royale et le Canada ont commencé avec le début de notre histoire. Le membre de la Famille Royale à se présenter sur la nouvelle terre était le fils de George III le Prince de Galles (William IV) qui est arrivé à Terre-Neuve en 1786. Le père de la reine Victoria le Duc de Kent, sa résidence ici de 1791 à 1800, a préparé les défenses militaires qui renvoyèrent les envahisseurs de 1812. La tournée du Prince de Gales en 1860, a décimé les différences entre les provinces Maritimes, et a hâté la Confédération. Princesse Louise a joué un grand rôle dans l’épanouissement culturel du Canada lors de la dernière partie du dix-neuvième siècle :l’ Académie Royale Canadienne et la Galerie Nationale du Canada lui sont associées. Un autre prince de Galles (Edouard VIII ) a fait une tournée triomphale du Canada en 1919 et a unifié le pays divisé après la Grève Générale de Winnipeg. Plus récemment, le Prince Philip comme Président du de l’Association médicale du Canada en 1959, a stimulé un intérêt pour la santé physique parmi les Canadiens. Les prix du Duc d’ Édimbourg établis en 1963 a impliqué des milliers de jeunes canadiens. Pendant l’année 1977 le Duc de York (Prince Andrew) a fréquenté une école au Canada. Un biographe majeur de la Reine a remarqué que Sa Majesté est non seulement Reine du Canada par la loi, mais qu'elle se sent Canadienne. Lors de sa première visite au Canada en 1951 comme une Princesse, la Reine a remarqué que l’accueil chaleureux des Canadiens «lui a montré qu’elle est vraiment Canadienne» En 1978, elle a déclaré à Edmonton «je commence à plutôt bien connaître notre pays». Sur la Colline parlementaire en 1990 après l'effondrement des négociations du Lac de Meech, elle a rappelé aux des Canadiens, que le Monarque devait être présent au Canada pendant des temps difficiles ainsi que pendant des temps de joie.



Héréditaire?

Comme l’a dit l’historien Jacques Monet «...Un roi est un roi, pas parce qu'il est riche et puissant, pas parce qu'il appartient à un certain groupe ethnique. Il est le Roi parce qu'il est né ainsi. Et quand on laisse la sélection du chef d'état au dénominateur commun de notre monde notamment le droit de naissance, les Canadiens proclament implicitement, leur croyance en l’égalité de l’homme....»


Le Gouverneur Général

Le Gouverneur Général est le représentant personnel de la Reine du Canada sur le territoire canadien. Le Canada partage son monarque avec beaucoup d'autres pays, avec lesquels nous partageons aussi une histoire constitutionnelle et légale. La Reine réside la plupart du temps dans son plus ancien royaume : la Grande-Bretagne mais elle est régulièrement présente dans ses royaumes plus modernes. Quand elle n'est pas au Canada, le Gouverneur Général exerce les pouvoirs du souverain : comme autorisé par George VI en 1947. Cependant, ces pouvoirs appartiennent à la Reine, pas au Gouverneur Général. Par exemple, le Gouverneur Général représente au Parlement mais il n’est pas lui-même un parlementaire. En plus, le Gouverneur Général exerce certaines autres fonctions qui lui sont confiées par Parlement dans sa capacité d’administrateur du Gouvernement du Canada au nom de la Reine. La Constitution du Canada reconnaît deux postes distincts, celui de la Reine et de celui du Gouverneur Général. Le poste du Gouverneur Général est inférieure et dérivé du poste de la Reine. Bien que l'expression populaire «Chef d’état» soit parfois utilisée pour décrire la Reine et le Gouverneur Général, le Gouverneur Général comme représentant de la Reine n’est évidemment pas un chef d'état. Il remplit les fonctions du chef d’état, mais ne l’est pas. Le Gouverneur Général n’est pas non plus le «conseiller» de la Reine. Il assume les responsabilités de la Reine ou est une voie de communication entre le Premier Ministre et la Reine. Les Pères de la Confédération voulaient que le Souverain joue un rôle actif dans la Constitution canadienne, même si à cette époque la distance physique entre le Canada est la Grande-Bretagne a empêché le monarque régnant d’être présent sur le sol canadien. Ce message est clair en lisant numéro 4 des Résolutions de Québec (les principes de base de la Constitution du Canada), qui déclare que le gouvernement «sera administré par le Souverain personnellement ou par son représentant dûment autorisé». Ils étaient déterminés à avoir le Souverain à la tête de leur royaume canadien, et non pas une figure nommée ayant le titre colonial de « Gouverneur Général ». Le Gouverneur Général a une fonction extrêmement importante, bien qu’elle puisse être sérieusement affaiblie si le Gouverneur Général ne se voit pas comme un représentant de la Reine.



Quels Sont les Rôles de Sa Majesté?

Quand les nouveaux citoyens affirment leur fidélité à la Reine Elizabeth II, en prenant le Serment de Citoyenneté, ils acquièrent leur première expérience comme citoyens Canadiens, puisque la Reine est l'emblème de la citoyenneté canadienne. L’ Autorité Exécutive est investie dans la Reine. La Reine forme un des trois éléments du Parlement. Elle a déclaré devant les députés et les sénateurs en 1957 :’’Je vous salue comme votre Reine. Ensemble nous constituons le Parlement du Canada«. Les Ministres du gouvernement sont ses Ministres. Comme l’autorité suprême du Canada, la Reine peut proposer quelques lois (via ses Ministres qui sont démocratiquement élus) ou en donnant la sanction royale aux projets de loi approuvés par son Parlement. Les motions du gouvernement sont donc introduites au Parlement comme des motions royales. Cela ne signifie pas qu’on ne peut pas s’y opposer. Pour renforcer la légitimité des critiques, l’opposition parlementaire est officiellement appelée l'Opposition Loyale de Sa Majesté. Avant qu’un projet de loi puisse devenir la loi, il doit recevoir la Sanction Royale. En signant le projet de loi, la Reine l’accepte au nom de tous les Canadiens. Si on considère le fonctionnement quotidien du gouvernement, la Reine continue à jouer un rôle actif. Elle a le droit de conseiller et d’encourager, son gouvernement ainsi que de l’avertir s’il y a un excès de pouvoir premier ministériel. Ces droits sont d'habitude exercés au nom de la Reine par ses Gouverneurs canadiens. Toutefois, l'autorité, la légitimité, le prestige et la neutralité associés aux Gouverneurs, ne seraient pas tellement forts si ce n’était pas pour la confiance que la Reine leur accorde. La Couronne au Canada assure que la loi soit maintenue, et ne change pas à cause des résultats d'une élection. Le caractère royal de la société canadienne existe dans tous les paliers du service gouvernemental. L’Armée, la Poste et le Service Public n’agissent pas au nom du gouvernement mais au nom de la Reine. Les Serments pris par leurs employés reflètent cette impartialité, ainsi que la fidélité de des soldats, des juges, de la police, et des serviteurs publics. La monarchie établi est un exemple de justice et de conduite pour honorable tous. La monarchie fournit une plus grande protection des libertés civiles que n’importe quel document écrit. Le fait que cette autorité vient de la Reine, et pas « des représentants du peuple », a été un des facteurs les plus importants dans la création des attitudes canadiennes. Il suffit de considérer les différences entre la colonisation de l’ouest Canadien et Américain pour comprendre ce point.


Une Monarchie partagée

En partageant notre Monarque avec 16 autres pays, les Canadiens participent à une civilisation globale qui inclut des gens vivant dans des conditions qui varient très largement à travers le monde. Grâce à son poste et à sa personnalité, la Reine reflète un caractère civilisé qui va au delà du nationalisme. Ce caractère civilisé conserve et réconcilie la contribution distincte au développement du Canada faite par les autochtones, les colons français, les colons Britanniques, et, plus récemment, par les gens d’origines ethniques largement variées. La Reine sépare son rôle de Reine du Canada, de la Jamaïque, etc., de son rôle comme la Reine du Royaume-Uni. Au Canada, comme dans chacun des Royaumes, elle agit seulement en suivant les conseils de ses ministres. Une Monarchie partagée et le Commonwealth des Nations qui a la Reine comme Chef, comprend un quart de la population mondiale.


La Monarchie unit les Canadiens anglais et français

La tradition française, comme celle des Britanniques et des autres pays européens, est monarchique. Les Canadiens français ont choisi la Monarchie à plusieurs reprises dans leur histoire. Leurs dirigeants culturels et religieux ont rejeté à plusieurs reprises la Révolution Américaine. En 1867 ils ont participé avec enthousiasme dans le choix d'une Monarchie comme forme du gouvernement du nouveau dominion ; à la Conférence des Premiers Ministres de 1979 à Québec, le Premier Ministre du Québec a réitéré cette position. Il a déclaré que si le Québec restait dans la Confédération, la Reine serait une restriction pour la centralisation excessive. Parmi les personnages historiques du Canada français qui se sont montrés favorables à la Couronne sont L'Evêque Briand, Monseigneur Etienne Tâché, George Etienne Cartier, Joseph Tarte d’Israel, Wilfrid Laurier, Raoul Dandurand, Camillien Houde, Ernest Lapointe, Maurice Duplessis, Jean Lesage, Réal Caouette et Jean Chrétien. La Reine Elizabeth parle couramment le français (comme le Prince Philip et les autres membres de la Famille Royale). À Saint- Pierre au Manitoba, en 1970, Sa Majesté a affirmée que: »C’est agréable pour moi de penser que dans notre Commonwealth il existe un pays où je peux m'exprimer officiellement en français«. Ses ancêtres, ont eu des liens étroits avec la Couronne Française. En visitant la République Américaine, le Prince Philip a rappelé aux Américains que le caractère bilingue du Canada, représentait les Canadiens Français sur la scène internationale.


La Famille de tous les Canadiens

La Famille Royale a une variété d’origines ethniques, et peut être liée à notre société multi- culturelle. Parmi les ancêtres de la Reine et du Prince de Galles on peut trouver : des Albanais, des Arabes, des Arméniens, des Bulgares, des Croates, des Tchèques, des Danois, des Angles, des Français, des Géorgiens, des Allemands, des Grecs, des Hongrois, des Irlandais, des Italiens, des Juifs, des Lithuaniens, des Mongols, des Normands, des Norvégiens, des Perses, des Roumains, des Russes, des Écossais, des Serbes, des Espagnols, des Suédois, des Suisses, des Tatares, des Ukrainiens, et des Gallois. C’était la Couronne qui a encouragé la première vague d’immigration muticulturelle au Canada :celle des Loyalistes. Les Princes Henri, Guillaume, Béatrice et Eugènie, sont des descendants des souverains Français et Anglais du Canada. « Je veux que la Couronne soit vue comme un symbole de souveraineté nationale,» a déclaré la Reine à Toronto en 1973. « C’est non seulement un lien entre les nations du Commonwealth, mais un lien entre les Canadiens, de chaque origine ethnique.» La Couronne fournit une protection aux minorités, et assure que leurs droits ne seront jamais violés par la majorité. Les relations amicales entre la Couronne et les peuples Autochtones témoignent ce fait.


Le Coût de la Monarchie

La Monarchie ne coûte absolument rien aux Canadiens, car si nous devenions une république, nous devrions avoir des institutions présidentielles. Les exemples républicains nous montrent que souvent le Président coûte plus que la Reine. À l’heure actuelle, on paie seulement pour les visites royales, et les résidences du Gouverneur Général et des Lieutenants Gouverneurs. On estime que le coût de la monarchie est un dollar par Canadien par année. Le contribuable canadien ne contribue rien pour financer les dépenses de la Reine, ou des autres membres de la Famille Royale.


Ils font sortir les qualités canadiennes

Vincent Massey avait décrit la Monarchie comme « un type de société où, en utilisant des symboles, la communauté se rappelle de son unité, et de son désir de voir et de protéger l’excellence...». Il est clair que beaucoup d’aspects de notre vie affectés par la Monarchie démontrent leur appréciation de l’excellence. Lors de ses visites à travers le pays, la Reine rencontre des Canadiens ordinaires, ce qui améliore leur appartenance à une digne communauté politique. À cause de ce sens de communication entre le Souverain et son peuple, on voit naître de la loyauté personnelle, et une conduite honorable. L’hôpital Torontois Princesse Margaret, et le théâtre Reine Elizabeth de Vancouver continuent à être des instituions exemplaires. Le Centre de l’Héritage du Prince de Galles, est une des plus récentes associations établies dans le Nord. La Princesse Alexandra a des liens avec nos collections renommées de livres d’enfant. « Le Peuple d’une société industrielle» a été le thème de la cinquième Conférence d’étude du Commonwealth organisé au Canada en 1980. La Reine Mère soutenait l’Ordre Victorien d’Infirmières, le Fond de la Reine Elizabeth pour la Recherche contre les Maladies Enfantines contribue au domaine de la médecine depuis 1959. Le Prince Charles est Colonel en Chef des Canadiens Royaux et plusieurs membres de la Famille Royale ont des liens avec des régiments de nos Forces Armées. La Reine appuie plusieurs écoles privées au Canada (Saint John’s Ravenscourt de Winnipeg) et elle a accordé le statut « Royal» au Collège Saint-George de Toronto. Le Prince Philip est un Visiteur du Collège du Haut Canada et le Prince Andrew soutient activement le Collège Lakefield. En 1992 le Prince Edward a commencé à aider le Théâtre de Régina. Ci -dessus vous voyez que quelques exemples de l’implication royale au Canada, on n’ a pas inclut les organisations désignées comme étant « Royales», qui sont connus par tous les Canadiens.


L’Hymne Royal

Le Canada a un Hymne Royal ainsi qu’un hymne national. « Q’Dieu Sauve la Reine» est l’Hymne Royal. On peut entendre l’Hymne Royal en écoutant le salut royal, et vice-royal, mais on peut le chanter à n’importe quelle occasion. C’est une prière pour protéger la Reine du Canada, tout comme « O Canada» est une prière pour protéger le territoire canadien. L’Hymne Royal est devenu populaire en 1745 lors du soulèvement Jacobite, et on commença bientôt à le chanter officiellement. Donc, on peut conclure que « Q’Dieu Sauve la Reine» a été chanté au Canada presque aussi longtemps qu’en Grande-Bretagne. Les députés chantèrent « Q’Dieu Sauve la Reine» plusieurs fois à la Chambre des Communes pour célébrer des occasions importantes. (la fin de la construction du Chemin de Fer en 1885, l’adoption du drapeau national en 1964) « Q’Dieu sauve la Reine» est probablement l’Hyme Royal le plus approprié pour le Canada, ses origines sont françaises ainsi qu’anglaises. En 1686 Louis XIV et a été accueilli par « Grand Dieu sauvez le Roi» avec la même mélodie qu’on emploie aujourd’hui. « Q’Dieu Sauve la Reine» est une des chansons les plus fameuses dans le monde, et est chantée un peu partout dans le monde. La même musique est employée pour l’Hymne National suisse, et les mots ainsi que la musique sont utilisés pour l’Hymne National norvégien. Le texte français a été autorisé en 1953 pour le couronnement de Sa Majesté. Notre Hymne National a aussi des origines royales. On l’a officiellement chanté pour la première fois en 1880, lors de la visite du Marquis de Lorne, le beau-fils de la Reine Victoria et Gouverneur Général du Canada.

« Je continuerai à faire de mon mieux... et j’ espère que vous continuerez à m’aider» étaient les paroles émouvantes que la reine a prononcées à Toronto en 1973». Lors de son allocution de Noël en 1991, elle a déclaré : « Avec vos prières, et votre aide, j’ essaierai de vous servir dans les années à venir.»..

Une des façons les plus efficaces de soutenir la Monarchie Constitutionnelle, est d’adhérer à la Ligue monarchiste du Canada. La Ligue est la seule institution au Canada qui sert uniquement A SOUTENIR ET A EXPLIQUER NOTRE MONARCHIE CONSTITUTIONELLE. Nous invitons tous ceux qui croient en nos principes d’ adhérer à la Ligue monarchiste de Canada, en cliquant ici. En devenant membre, vous recevrez aussi gratuitement notre périodique : Nouvelles monarchiques canadiennes. Dans beaucoup de communautés, les membres peuvent participer aux programmes offerts par une succursale de la Ligue.

0 comentarios